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Cette clavaire peu commune, pousse d’août à octobre dans les forêts de conifères et de feuillus. Elle est comestible à l’état jeune et convient alors pour les potages si on prend la précaution de couper le bord des ramifications qui est amer. La chair est plus digeste broyée. Il faut cependant rester prudent car cette clavaire est douteuse chez les exemplaires âgés et pour les néophytes, une confusion est toujours possible avec les 40 autres espèces de clavaires dont certaines provoquent des diarrhées et des indigestions.
Nom usuel :	clavaire dorée
Nom latin :	clavaria aurea
Famille :	ramariacées
Catégorie :	clavaire
Noms communs :	Clavaire dorée Autres noms : Ramaria aurea
Habitat :	coniféres
Classe :	homobasidiomycètes
Calendrier :	Aout – Septembre – Octobre
Comestibilité :
Le chapeau :	Cette clavaire mesure de 8 à 14 cm de haut. Son tronc est court et épais, de couleur blanche ou crème. Le corps fructifére est assez massif, et se compose de nombreuses ramifications courtes, fermes et denses. Les rameaux sont dressés ou tortueux, les derniers obtus ou comportant deux dents, de couleur jaune orangé. Les bords sont plus pâles à l’état jeune, jaune citron et plus foncés en vieillissant, devenant de la même couleur que le reste.
Le pied :	sans pied
La chair :	est assez dure, crème blanchâtre, jaune-jaunâtre sous la cuticule avec des marbrures translucides. Sa couleur ne varie pas à la cassure. Elle a une odeur épicée et une saveur douce sauf au bord des ramifications où la saveur est amère.
Les spores :	–